
Le député autrichien Harald Troch a affirmé, lundi à Rabat, que le plan d'autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine, proposé par la Royaume, est la meilleure voie pour parvenir à une solution définitive au conflit artificiel autour du Sahara marocain.
"Le modèle d'autonomie pour les provinces du Sud du Maroc, dans le cadre de la souveraineté marocaine, constitue une voie très positive pour une solution définitive" à la question du Sahara, a indiqué Troch, membre du Conseil national du parlement autrichien, dans une déclaration à la presse à l'issue de ses entretiens avec le président de la Chambre des représentants, Rachid Talbi El Alami, et la présidente de la Commission des affaires étrangères, de la défense nationale, des affaires islamiques et des MRE, Nadia Bouaida.
Rabat, Monday 5 June 2023,
— Nadia BOUAIDA - نادية بوعيدا (@nadia_bouaida) June 5, 2023
I had the honor to receive Mr. Harald Troch, member of the Austrian National Council, as part of his working visit to our country.
The meeting was an occasion to review the distinguished relations between our two friendly countries, pic.twitter.com/mjdunObzah
Harald Troch, membre de la Commission des politiques étrangères au Conseil national autrichien, a également salué les efforts déployés par le Royaume “en faveur du développement et de la paix dans la région”.
D'autre part, le parlementaire autrichien a souligné que ses entretiens avec Talbi El Alami et Mme Bouaida ont été l'occasion d'échanger des visions et des idées constructives et d’évoquer les relations entre le Maroc et l'Europe et entre Rabat et Vienne.
📹🇲🇦 🇦🇹 استقبال وفد من المجلس الوطني النمساوي @Parlement_ma @OeParl @RTalbiAlami @HaraldTroch pic.twitter.com/x9DHiREgzh
— parlement.ma (@Parlement_ma) June 5, 2023
Le parlement marocain a signé en mars dernier à Rabat un protocole d'accord avec son homologue de la République d'Autriche visant à donner un nouvel élan à la coopération parlementaire maroco-autrichienne, et à renforcer les relations entre les deux institutions législatives.
Ce mémorandum d’entente porte sur le développement des relations parlementaires et administratives et sur le renforcement du dialogue, de la concertation et de la coordination sur les questions d'intérêt commun.